Le Team Winamax fait le murL'un des aspects les plus surprenants de cet étape exotique de l'EPT
est l'absence de la quasi-totalité des médias européens pour couvrir le
tournoi. De l'autre côté de l'Atlantique,de Barcelone à Prague et de
San Remo à Copenhague, je suis habitué à travailler en compagnie de 40,
50 voire 80 collègues venus d'une douzaine de pays différents. Ici, au
Bahamas, je passe mes journées en salle de presse en compagnie de huit
ou neuf journalistes au maximum... PokerListings, CardPlayer, les
Allemands d'Intellipoker, un portugais, et Madeleine, la coordinatrice
en charge de nous fournir les listes de joueurs. Et c'est tout. On
entendrait les mouches voler. Il est vrai que Paradise Island est une
destination de luxe, et que la plupart des médias européens ne
disposent pas des budgets nécessaires pour envoyer des équipes à des
miliers de kilomètres.
(Notez l'unique personne en train de travailler sur cette photo)Heureusement, le Team Winamax, liberé de ses obligations pour la
soirée, est là pour tuer l'ennui ambiant qui s'est emparé de cette
salle de presse tristement vide. Et comment ? En jouant à des jeux
stupides pour de l'argent, bien sur. Ce soir, c'est le «
Plus près du mur » qui à les faveurs de l'équipe.
La règle est simple, et n'a pas changé depuis l'invention de ce jeu par
des écoliers romains en 400 avant Jésus-Christ (note : la véracité
historique de cette affirmation reste à confirmer) Sauf qu'ici, ce
n'est pas une pièce, qu'on jette, mais un jeton noir de cent dollars.
On aurait pu s'en douter.
Après vingt minutes de lancers, les plus gros écarts observés
jusqu'à présents sont de 200 dollars. Mais je m'attends à ce que les
enchères montent rapidement.
Source = Winamax